2017.12.11 - Les formations universitaires en urbanisme. Vers un nouveau gouvernement des corps (de métiers)? : Différence entre versions

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Quel est l'état des formations en urbanisme. Peux-t-on continuer à enseigner l<nowiki>''</nowiki>urbanisme comme cela se fait maintenant ?
 
 
 
J'ai été formé en institution d'urbanisme et j'enseigne depuis 20 ans. Des évolutions sont à constater au vue des enjeux du devenir urbain.
 
J'ai été formé en institution d'urbanisme et j'enseigne depuis 20 ans. Des évolutions sont à constater au vue des enjeux du devenir urbain.
  
J’ai écris un papier qui  résonne comme une critique vis a vis des formations.
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Je travail sur les enjeux socio-écologique et les formes alternatives de démocratie, là où les imaginaires et les valeurs sont amené à être questionné.  
 
 
Le but est de faire école. De mélanger des formes de recherches renouvelé et mobiliser la pratique des acteurs et la recherche.
 
 
 
Renvoyer au papier Manifeste (document à trouver).
 
 
 
Mon domaine de recherche concerne la controverse socio-écologique. Là où les imaginaires et les valeurs sont amené à être questionné. Je travail beaucoup autour des enjeux socio et des formes alternatives de démocratie.
 
 
 
Je pars du constat que de nombreuses villes ont muté pour aller vers le statut de villes monde, et je
 
 
 
considère les impact socio-écologique de cette évolution.
 
 
 
Pourtant, les grilles pédagogiques et les formats pour travailler sur ce monde en pleine mutations sont à chercher longtemps. Les formations sont statiques.
 
 
 
Les mondes de la pratiques sont amenés dans une terminologie qui traduit un défaut de maitrise : Labile Agile Mutable, Ephémère.
 
 
 
Dans la lexicographie des discours pratique il y a une recherche de résilience, qui renvoi à une instabilité.
 
 
 
Les enjeux sociologique politique écologique sont autrement posé. Les métiers sont amené à faire évoluer leur référentiel d'action. Les formations sur l'urbanisme  doivent donner les outils autour de ce que l'on va fabriquer ensemble. Les formations d'urbanisme devaient être sensible à ces évolutions, pourtant il y a de la rigidité et peu d'évolution.
 
 
 
A l'échelle des 14 instituts d'organisme il y a des décalages avec les réalité de métier. Que l'on prenne les CAUE les Agences d'urbanismes, les parcs naturels, les directions régionales, les services centraux, etc.
 
 
 
Il y a un décalage avec ces évolutions là mais on reste avec une asymétrie entre l'enseignement et la pratique. Des enseignement qui ont évolué mais pas dans les référentiels de pratique.
 
 
 
Qu'est-ce qui a été manqué : L'urbanisme s'est constitué dans une perspective critique dans les années 50 – 70. Ensuite un tournant réflexif et capacitaire est en train d'agiter le monde des métiers.
 
 
 
La cause est triple :
 
 
 
1. La question de la légitimité disciplinaire par la profession. Légitimité faite par les corpus, etc. Dans les année 70 l’urbanisme tourne autour de l'adossement aux carrières. Les différents textes de loi  qui ponctue le 20eme siècle accentue cela. Nécessité de toujours plus de jeunes formé pro à l'urbanisme. Les instituts eux même comme preuve recrutent des praticiens. 40% des enseignants sont des praticiens. 30% dépend de la commande public.
 
 
 
Les pédagogies patines. Il fallait bâtir un champ de légitimation. La pratique et la professionnalisation était celle ci.
 
 
 
Il a fallut durcir
 
 
 
Ingénieur en corps, achi en ordre, les urba en scientifique (technico-scientifique)
 
 
 
c’est l’apparition de l'Association de promotion pour l'enseignement et la recherhce, des référentiels métiers apparaissent.
 
 
 
Il a fallut durcir pour revendiquer la professionnalisation.
 
 
 
Pour former des pro, il fallut recourir à une reconnaissance publique de ce que devrait être un champ.
 
 
 
2. Quel est la cause et la conséquence
 
 
 
Ce n'est pas neutre pour les formations. Ce durcissement a eu des effets sur les prof, le programme etc. Quelques choses va primer c'est la question de l'outils et de l'instrument
 
 
 
Une représentation instrumental de la pédagogie : Former outils démarche et méthode
 
 
 
Cela conduit à une torsion de la formation : processus et management
 
 
 
Processus : comment faire de l'urbaniste un chef d'orchestre et que l'on retrouve bcp dans les formations, médiateurs de la complexité
 
 
 
On revendique la pluralité des discipline de l'urbanisme. Le but est de manager des équipes pluriel et pluridisciplinaire
 
 
 
Il y a eu un tournant dans les pédagogies : cours de propédeutique.
 
 
 
Chacune des discipline va faire de l'instrument sa raison d'être (La sociologie fait des enquêtes, l’économie fait de la statistique, la géographie de la production environnementale)
 
 
 
Le processus de projet va singer de plus en plus la manière dont le projet est enseigné, avec un atelier de projet urbain qui singe les école d'architecte.
 
 
 
3.  Puisqu'il s'agit de former à la conduite de projet qu-est-ce qui est à remarquer ?
 
 
 
Ca répond à la recherche de débouché pour les étudiants.
 
 
 
Ca produit des éloignement de l'intention initiales de l'urbanisme.
 
 
 
Derrière ça il y a le monde tel qu'il est : développement de la ville et actionnisme
 
 
 
L'univers et l'imaginaire derrière cette torsion sont ceux de la ville monde.
 
 
 
Les urbaniste doivent être les acteurs d'une évolution fondamentale d'une ville mondialisé, néolibérale qui a la culture les festivité, la buccolisation, la patrimonialisation qui traduise la direction généralisation des agglomération.
 
 
 
Il y a des courants de pensée qui profite d'une culture de je suis la pour me former rapidement au développement qui s'impose.
 
 
 
Un régime bâtisseur
 
 
 
Une croyance productiviste
 
  
Faire des institut d'urbanisme des outils politique - acteur formatif pour fournir l'outillage technique juridique et humain à ce type de développement
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Je pars du constat que de nombreuses villes ont mutées pour aller vers un statut de villes monde et je considère les impacts socio-écologique de cette évolution.
  
Pour quoi dans les institut d'urbanisme la question du péri-urban n'est pas approché ?
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Les grilles pédagogiques et les formats pour travailler sur ce monde en pleine mutations sont à rechercher longtemps. J'observe que les formations sont statiques.
  
Parce que le péri urbain sort de la volonté politique de développement. Il y a donc une disposition relative à ce type de réalité.
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Les mondes de la pratique sont amenés dans une terminologie qui traduit un défaut de maitrise : Labile Agile Mutable, Ephémère.
  
L'urbanisme universitaire est devenu un champ technique de formation spécialisé
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Cette lexicographie des discours pratiques montre une recherche de résilience, qui renvoi à une instabilité.
  
Dans les années 90 il y avait des corpus analytique et critique remarqué. C'est substitué un couple processus, management, savoir faire
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Les enjeux sociologique politique écologique sont autrement posés. Les métiers sont amenés à faire évoluer leurs référentiels d'action. Les formations en urbanisme doivent donner les outils pour être sensible aux évolutions, pourtant il y a de la rigidité et peu d'évolution.
  
La question est où est la perspective critique qui permette de nourrir l'un et l'autre.
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A l'échelle des 14 instituts d'urbanisme en France il y a des décalages avec les réalité de métier.  
  
On a 2 point :
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On observe avec une asymétrie entre l'enseignement et la pratique. Les enseignements ont évolués mais pas les référentiels de pratique.
  
On a affaire à une science du gouvernement avec une normation techno scientifique (foucault) Organisation et conditionnement des conduite. et détournement des perspective critique -
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Qu'est-ce qui a été manqué : Dans les années 50-70, l'urbanisme s'est constitué dans une perspective critique. Ensuite un tournant réflexif et capacitaire a agité le monde des métiers.
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La cause est triple :
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1. Quelle est la cause ? La question de la légitimité disciplinaire.
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La légitimité est faite par les corpus, etc. Dans les années 70 l’urbanisme tourne autour de l'adossement aux carrières. Les différents textes de lois au 20eme siècle accentuent cela. Il y a une nécessité formé toujours plus de jeunes à l'urbanisme. Les instituts recrutent des praticiens. 40% des enseignants sont des praticiens. 30% dépendent de la commande public. Les pédagogies patinent. Il a fallut bâtir un champ de légitimation par la pratique et la professionnalisation : Ingénieurs en corps, architectes en ordre, urbanistes en scientifique (technico-scientifique). C’est l’apparition de l'Association de promotion pour l'enseignement et la recherche, des référentiels métiers apparaissent. Il a fallut durcir pour revendiquer la professionnalisation.
  
Changement dans le corpus de l'urbanisme où trouve t-on une perspective critique, sans même parler d'écologie etc. On a une forme de contingence qui a tout les atour d'une science du gouvernement. Elle ne font pas intervenir les savoir qui apporte une perspective critique.
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Pour former des professionnels, il a fallu recourir à une reconnaissance publique de ce que devrait être le champ disciplinaire de l'urbanisme.
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2. Quel est la conséquence ? Ce n'est pas neutre pour les formations.
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Ce durcissement a eu des effets sur les professionnels, les programmes etc. Quelques choses va primer, c'est la question de l'outils et de l'instrument. Cela a conduit à une représentation instrumental de la pédagogie, à une torsion de la formation vers  : le processus et le management
  
Il y a une sélection de trie qui s’opère, qui participe à la construction technique et normative.
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Le Processus c'est  comment faire de l'urbaniste un chef d'orchestre (ce que l'on retrouve beaucoup dans les formations. L'urbaniste en médiateur de la complexité).
  
Dernier point : Comment sortir de la science de gouvernement. Comment créer un parcours, une polarité
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On revendique la pluralité des disciplines de l'urbanisme. Le but est de manager des équipes pluriels et pluridisciplinaires
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Il y a eu un tournant dans les pédagogies. Chacune des discipline va faire de l'instrument sa raison d'être (La sociologie fait des enquêtes, l’économie fait de la statistique, la géographie de la production environnementale)
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Le processus de projet va singer de plus en plus la manière dont le projet est enseigné,.
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3.  Puisqu'il s'agit de former à la conduite de projet que-est-ce qui est à remarquer ?
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Ca répond à la recherche de débouché pour les étudiants. Ca produit des éloignement de l'intention initiales de l'urbanisme. Derrière, il y a le monde tel qu'il est avec le développement de la ville et l'actionnisme. L'univers et l'imaginaire derrière cette torsion sont ceux de la ville monde. Les urbaniste doivent être les acteurs d'une évolution fondamentale d'une ville mondialisé, néolibérale qui avec la culture, les festivités, la buccolisation, la patrimonialisation traduise la direction généralisation des agglomérations.
  
Au bout du bout i y a en fait un manquement qui est la conception de l'écologie
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Il y a des courants de pensée qui profitent d'une culture de « je suis la pour me former rapidement au développement qui s'impose », c'est un régime bâtisseur avec une croyance productiviste. Il s'agit de faire des instituts d'urbanisme des outils politique . C'est-à-dire des acteurs formatifs pour fournir l'outillage technique juridique et humain à ce type de développement.
  
Repenser la finitude
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Pour quoi dans les institut d'urbanisme la question du périurbain n'est pas approché ?
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Parce que le périurbain sort de la volonté politique de développement. Il y a donc une disposition relative à ce type de réalité.
  
Le constat qui est fait que des formations sont amené à sortir des murs
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L'urbanisme universitaire est devenu un champ technique de formation spécialisé Dans les années 90 il y avait des corpus analytique et critique remarqué. C'est substitué à cela un couple processus, management, savoir faire.
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La question est de savoir où est la perspective critique qui permette de nourrir l'un et l'autre.
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Il existe 2 points d'accroche :
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On a affaire à une science du gouvernement avec une normation techno-scientifique (Foucault).  Des organisations qui œuvres au conditionnement des conduites et détournent des perspective critique.
  
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Il y a un changement dans le corpus de l'urbanisme. Où trouve-t-on une perspective critique ? sans même parler d'écologie etc. On a une forme de contingence qui a tout les atour d'une science du gouvernement. Elle ne font pas intervenir les savoir qui apporte une perspective critique.
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Il y a une sélection qui s’opère, qui participe à la construction technique et normative.
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Dernier point : Comment sortir de la science de gouvernement. Comment créer un parcours, une polarité ? Au bout du bout il y a au final un manquement qui est la conception de l'écologie. Celle-ci oblige à repenser la finitude.
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Les formations sont amenés à sortir des murs
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Il y a des évolutions marginale qui montre que la question de l’anthropocène.
 
Il y a des évolutions marginale qui montre que la question de l’anthropocène.
  

Version du 12 janvier 2018 à 18:42

Conférence de Guillaume Faburel.jpg
  • 2017.12.11 - Les formations universitaires en urbanisme. Vers un nouveau gouvernement des corps (de métiers)? par Guillaume Faburel (Université Lyon 2). Guillaume Faburel rend compte de ses recherches, en France, relatives aux formations en urbanisme et à leur impensé socio-écologique. La conférence ouvre à une discussion à propos des formations en urbanisme en Suisse romande.

Participer

Lundi 11 décembre 2017 12 h 15 - 14 h 3DD espace de concertation 3, rue David Dufour, Genève.

L’entrée est libre, mais l’inscription obligatoire au moyen du formulaire ci-après : Rejoindre et participer

Documentation

Situation

La séance se passe sur le plateau du haut. Il y a environ 35 personnes assises en rang devant un bureau où est assis l'intervenant. Le public est composé d'étudiants, d'ex. étudiants, de chercheurs, de praticiens (notamment de l’Office Urbanisme) et des personnes de la société civile intéressé par le sujet.

L’intervenant est Guillaume Faburel - Professeur d'études urbaines

Verbatim

J'ai été formé en institution d'urbanisme et j'enseigne depuis 20 ans. Des évolutions sont à constater au vue des enjeux du devenir urbain.

Je travail sur les enjeux socio-écologique et les formes alternatives de démocratie, là où les imaginaires et les valeurs sont amené à être questionné.

Je pars du constat que de nombreuses villes ont mutées pour aller vers un statut de villes monde et je considère les impacts socio-écologique de cette évolution.

Les grilles pédagogiques et les formats pour travailler sur ce monde en pleine mutations sont à rechercher longtemps. J'observe que les formations sont statiques.

Les mondes de la pratique sont amenés dans une terminologie qui traduit un défaut de maitrise : Labile Agile Mutable, Ephémère.

Cette lexicographie des discours pratiques montre une recherche de résilience, qui renvoi à une instabilité.

Les enjeux sociologique politique écologique sont autrement posés. Les métiers sont amenés à faire évoluer leurs référentiels d'action. Les formations en urbanisme doivent donner les outils pour être sensible aux évolutions, pourtant il y a de la rigidité et peu d'évolution.

A l'échelle des 14 instituts d'urbanisme en France il y a des décalages avec les réalité de métier. 

On observe avec une asymétrie entre l'enseignement et la pratique. Les enseignements ont évolués mais pas les référentiels de pratique.

Qu'est-ce qui a été manqué : Dans les années 50-70, l'urbanisme s'est constitué dans une perspective critique. Ensuite un tournant réflexif et capacitaire a agité le monde des métiers. La cause est triple : 1. Quelle est la cause ? La question de la légitimité disciplinaire. La légitimité est faite par les corpus, etc. Dans les années 70 l’urbanisme tourne autour de l'adossement aux carrières. Les différents textes de lois au 20eme siècle accentuent cela. Il y a une nécessité formé toujours plus de jeunes à l'urbanisme. Les instituts recrutent des praticiens. 40% des enseignants sont des praticiens. 30% dépendent de la commande public. Les pédagogies patinent. Il a fallut bâtir un champ de légitimation par la pratique et la professionnalisation : Ingénieurs en corps, architectes en ordre, urbanistes en scientifique (technico-scientifique). C’est l’apparition de l'Association de promotion pour l'enseignement et la recherche, des référentiels métiers apparaissent. Il a fallut durcir pour revendiquer la professionnalisation.

Pour former des professionnels, il a fallu recourir à une reconnaissance publique de ce que devrait être le champ disciplinaire de l'urbanisme.

2. Quel est la conséquence ? Ce n'est pas neutre pour les formations. Ce durcissement a eu des effets sur les professionnels, les programmes etc. Quelques choses va primer, c'est la question de l'outils et de l'instrument. Cela a conduit à une représentation instrumental de la pédagogie, à une torsion de la formation vers  : le processus et le management

Le Processus c'est comment faire de l'urbaniste un chef d'orchestre (ce que l'on retrouve beaucoup dans les formations. L'urbaniste en médiateur de la complexité).

On revendique la pluralité des disciplines de l'urbanisme. Le but est de manager des équipes pluriels et pluridisciplinaires

Il y a eu un tournant dans les pédagogies. Chacune des discipline va faire de l'instrument sa raison d'être (La sociologie fait des enquêtes, l’économie fait de la statistique, la géographie de la production environnementale)

Le processus de projet va singer de plus en plus la manière dont le projet est enseigné,.

3. Puisqu'il s'agit de former à la conduite de projet que-est-ce qui est à remarquer ?

Ca répond à la recherche de débouché pour les étudiants. Ca produit des éloignement de l'intention initiales de l'urbanisme. Derrière, il y a le monde tel qu'il est avec le développement de la ville et l'actionnisme. L'univers et l'imaginaire derrière cette torsion sont ceux de la ville monde. Les urbaniste doivent être les acteurs d'une évolution fondamentale d'une ville mondialisé, néolibérale qui avec la culture, les festivités, la buccolisation, la patrimonialisation traduise la direction généralisation des agglomérations.

Il y a des courants de pensée qui profitent d'une culture de « je suis la pour me former rapidement au développement qui s'impose », c'est un régime bâtisseur avec une croyance productiviste. Il s'agit de faire des instituts d'urbanisme des outils politique . C'est-à-dire des acteurs formatifs pour fournir l'outillage technique juridique et humain à ce type de développement.

Pour quoi dans les institut d'urbanisme la question du périurbain n'est pas approché ? Parce que le périurbain sort de la volonté politique de développement. Il y a donc une disposition relative à ce type de réalité.

L'urbanisme universitaire est devenu un champ technique de formation spécialisé Dans les années 90 il y avait des corpus analytique et critique remarqué. C'est substitué à cela un couple processus, management, savoir faire.

La question est de savoir où est la perspective critique qui permette de nourrir l'un et l'autre.

Il existe 2 points d'accroche :

On a affaire à une science du gouvernement avec une normation techno-scientifique (Foucault). Des organisations qui œuvres au conditionnement des conduites et détournent des perspective critique.

Il y a un changement dans le corpus de l'urbanisme. Où trouve-t-on une perspective critique ? sans même parler d'écologie etc. On a une forme de contingence qui a tout les atour d'une science du gouvernement. Elle ne font pas intervenir les savoir qui apporte une perspective critique.

Il y a une sélection qui s’opère, qui participe à la construction technique et normative.

Dernier point : Comment sortir de la science de gouvernement. Comment créer un parcours, une polarité ? Au bout du bout il y a au final un manquement qui est la conception de l'écologie. Celle-ci oblige à repenser la finitude. Les formations sont amenés à sortir des murs

Il y a des évolutions marginale qui montre que la question de l’anthropocène.

Les formations peuvent devenir des scène de controverses. Les formations peuvent devenir des lieux de disputes.

Échanges avec la salle

Prises de note collaborative

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